" I have all regrets...
...over you..." The Good, the Bad and the Queen. (J'adore sa voix, c'est plus fort que moi, elle me file presque des frissons.)
What's new here ? La partie de hier ne s'est pas soldée par la mort du perso d'Huldu, qui avait, il faut l'avouer, bien manigancé pour rester en vie. Mais ce n'est, je crois, que partie remise...une petite goutte par-ci par-là et s'en est fini ^_^
Aujourd'hui je n'ai pas anglais (cool, je vais pouvoir glander) alors je vais aller faire une étude comparée des mérites du Noz de Vannes vis à vis de ceux de Lorient (comment çà c'est du shopping ? nan, je n'achêterais rien).
Et sinon...c'est bonheur. J'ai enfin récupéré le supplément qui me manquait, le Bestiaire, sur Ebay. La discussion se renoue avec mon père, et je crois que je ne me suis jamais sentie aussi sereine qu'en ce moment. Je ne suis révoltée contre rien, personne, je ne carbure pas à la colère, et çà fait du bien ^_^
Certaines pages se tournent, laissant enfin place à l'inconnu. Je suis seule maître à bord...et çà n'est pas pour me déplaire. Je n'ai plus toutes ces questions, tout ce bruit dans ma tête, qui rendait impossible toute interaction réelle. J'ai tiré un trait...ou plutôt quelqu'un m'a permis de tourner la page en faisant un choix clair.
Peut être que je me trompe, que tout çà va me rattraper, mais je ne me laisserais plus bouffer, c'est fini. PLus de culpabilité, plus de questionnement sans fin, plus de regrets ?
J'ai vingt ans dans cinq jours...çà fait bizzare.Vraiment. Mais je n'ai plus l'impression d'avoir loupé quelques chose, je suis comme je suis aujourd'hui, et si c'était à refaire, je referais probablement pareil. Reste un seul choix, entre engagement et liberté. Entre grandir et stagner un peu encore dans cet état de grâce. Entre établir des plans d'avenir comme tant le font autour de moi, ou me laisser porter sur la vague, laisser le champ libre à l'imprévu. Je crois que ce choix, au fond, est déjà fait : je ne veux pas être enfermée. Certaines contraintes sont "obligatoires" mais je veux m'éviter le maximum de chaînes possibles." Les pieds nu, perdu dans la jungle, je te suivais, juste avant la pluie..." (P. Croze).